L'INDEX DE TOUTES LES RUES, ARRONDISSEMENTS, BÂTIMENTS, ET ARTISTES :
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  • mardi, juin 29, 2010

    RUE SAINT-FLORENTIN

    Une rue minuscule (200m)...
    Mais qui permet au moins de varier un tout petit peu le parcours habituel permettant de parvenir de la Madeleine jusqu'à la place de la Concorde, et du reste, comme vous le voyez, mes Reebok Freestyle ultra-géniales ont très bien suivi le conseil de la flèche (il faut dire qu'il fallait que je me rende à pied de chez moi jusqu'à une géniale fiesta dans les Tuileries, ce qui sera bien évidemment l'objet de mon prochain article) :
    Petite vue sur la fameuse église, avec ces très jolies fleurs rouges sur son escalier :
    Un extrêmement bref passage sur la toute petite rue Duphot - avec cependant ce bel immeuble, assez proche de ceux dont j'avais déjà parlé concernant la très fameuse rue Réaumur :
    Juste avant d'atteindre l'exacte même rue que Saint-Florentin, sans grand intérêt, mais qui porte durant une petite centaine de mètres un autre nom, celui d'un compositeur français de la même époque que Mozart, hélas complètement oublié de nos jours, le Chevalier Saint-Georges (vous voyez, c'est interdit !) :
    Heureusement, les choses deviennent déjà beaucoup plus flatteuses une fois que l'on a traversé la célèbre rue Saint-Honoré, avec une brève vue sur l'une des très rares églises polonaises de Paris, Notre-Dame de l'Assomption :
    Ainsi qu'un fort bel immeuble du carrefour :
    Et enfin, nous voici rendu rue Saint-Florentin, avec ce très célèbre et sublime restaurant Japonais spécialisé dans les thés et les desserts, le fameux Toraya (虎屋, ou とらや), considéré même à Tôkyô comme le meilleur du monde, et que je vous conseille très vivement, notamment du fait qu'il s'agit de l'un des très rares endroits Parisiens où l'on peut boire de l'excellent Macha (抹茶, le thé vert) !
    Attention, si vous apprenez le japonais, là, il faut lire les Hiragana (ひらがな) de droite à gauche !
    Mais c'est magnifique, n'est-ce pas ? De même que leur vitrine, à tomber par terre (et attention, ce n'est absolument pas "hors de prix", compte tenu de l'immense qualité !) :
    Avec, juste en face, un bien joli premier étage :
    Et à peine quelques mètres plus loin, un bâtiment de l'État, dont je vous laisse durant deux photos deviner la fonction :
    Et voici la bonne réponse : le Médiateur de la République !
    Très peu de temps avant d'arriver à la Concorde, restait encore ce joli bâtiment à voir, probablement de l'époque de Napoléon :
    Autrefois l'Ambassade des États-Unis, qui a désormais déménagé à l'Ouest de l'hôtel Crillon, avec douze tonnes de flics qui vous agressent dès que vous prenez la moindre photol !
    Et juste en guise de conclusion, bien sûr, le fameux voisin, le Ministère de la Marine :
    Achtung : cet article n'est que le tout début de ma promenade du jour (guère fatigante, du reste, beaucoup moins d'une heure, de Wagram jusqu'aux Tuileries), visant à me rendre à une très sympathique réunion de fans d'Internet, organisée par Startine dans le Café de Diane du fameux jardin, en prime avec un temps sublime...
    Adoncques, attendez-vous à un très prochain article à ce sujet, avec pas loin de 40 photos !

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    lundi, juin 21, 2010

    RUE NICOLO

    De nouveau un compositeur...
    Mais oui ! Suite à ma très récente promenade de la rue Spontini, sinon que cette fois-ci, il s'avère que ce pauvre musicien italien (1773-1818) s'est trouvé encore plus oublié de nos jours que le précédent, dont la statue figure toujours en tête de l'Opéra Garnier...
    Quoi qu'il en soit, il fallait tout de même que je relie ces deux rues grâce à un minuscule passage via la Thaïlande, ou le Siam :
    Toute petite rue sans grand intérêt, du reste, exception faite de ce plutôt sympathique hôtel particulier :
    Meilleure preuve une fois arrivé au croisement avec la très connue rue de la Pompe, où sans doute en faveur de ce "grand sport", un malade mental d'un QI probablement inférieur à 80 s'est permis d'afficher notre propre drapeau sur son balcon (habitude extrêmement courante en Autriche, en Italie & en Suisse, mais presque jamais pratiquée chez nous !) :
    Enfin bref, passons... Juste histoire d'attaquer cette petite rue Nicolo d'environ 500m, certes un tout petit peu moins séduisante que la précédente rue Spontini, mais tout de même avec certaines belles maisons :
    Jolie porte, n'est-ce pas ?
    Un tout petit peu plus loin, une fameuse Ambassade, dont je vous laisse découvrir le pays grâce à vos connaissances en matière de drapeaux (réponse en fin d'article !) :
    Ainsi qu'un bel joli hôtel particulier, relativement rare dans cette rue :
    Sinon qu'il est relativement mal cerné par cette énorme aberration architecturale (je pense que tout le monde sera d'accord avec moi, n'est-ce pas ?) :
    En revanche, arrivé tout au bout de la rue, plein Sud, un immeuble se révèle plutôt étonnant, tout d'abord grâce à sa porte N°4 :
    Mais aussi grâce à son aspect d'ensemble, qui ne m'a pas du tout déplu (même si beaucoup plus typique des pays du Nord, évidemment) :
    Bref ! Fin de la rue Nicolo avec cet assez étonnant café, dont la lumière du premier étage doit être relativement étonnante en raison de ses vitraux de toutes les couleurs (même si ceci ne se voit pas très facilement sur ma photo, désolé) :
    Et pour finir, histoire de me rendre enfin dans mon lieu de travail après une bonne heure et demie de balade, minuscule rue Chernoviz d'à peine une centaine de mètres, presque totalement occupée par cet unique bâtiment scolaire :
    Juste avant de débarquer sur la très fameuse rue Raynouard, dont j'ai déjà très longuement parlé...
    P.S (réponse à l'unique question) : Mais oui, c'était effectivement l'Ambassade de l'Indonésie, située au croisement avec la rue Cortambert !

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    samedi, juin 19, 2010

    RUE SPONTINI

    Autrement dit : Gaspare Spontini (1774-1851)...
    Un compositeur italien ayant longtemps vécu en France du temps de Napoléon Ier, notamment auteur de plusieurs opéras comiques, mais pratiquement plus jamais joué de nos jours (même si sa statue figure encore parmi celles de l'Opéra Garnier)... Alors, peut-être histoire de compenser cet oubli, sa rue située dans le XVIème entre l'avenue Foch et l'avenue Henri Martin apparaît, avec l'avenue Mozart, comme l'une des plus grandes rues portant le nom d'un musicien, ce qui est extrêmement rare à Paris !
    Le tout premier immeuble, au croisement avec l'avenue Foch, est du reste lui aussi assez impressionnant :
    Surtout avec son vaste premier étage, de quatre ou cinq mètres de plafond :
    L'ensemble coïncidant, un bref moment, avec la rue des Belles Feuilles & son fameux Hôtel Saint James, hélas à deux pas de cet immense bâtiment contemporain :
    Bâtiment dont la longue face Ouest ne favorise pas énormément le tout début de la rue, il faut bien l'admettre :
    Heureusement que le trottoir d'en face, typiquement Haussmann, apparaît nettement plus agréable, avec entre autres cette minuscule Ambassade au très joli drapeau (hum, hum, de quel pays s'agit-il ? Je donnerai la réponse à la fin !) :
    Ceci dit, cette rue se révèle dans l'ensemble plutôt agréable, car il y a un très grand nombre d'hôtels particuliers, dès le N°30 :
    Souvent de styles très différents, comme par exemple ces deux-ci que l'on rencontre au coin de la rue du Général Appert :
    Ou encore cette jolie cité de style très campagnard, qui occupe le N°39 :
    Retour au classicisme dès le N°45 :
    Avec cette très étonnante façade au coin de la rue Thiers, recouverte de géométriques petites sculptures en bois (ce que l'on appelle en fait du treillage, comme mon ami Gilles vient tout juste de me le souffler !) :
    Une demi-heure plus tard, arrivée finale au plein sud de cette rue Spontini, agrémentée d'un minuscule square Lamartine :
    Mais en même temps d'une flatteuse statue de notre célèbre poète national, Alphonse de Lamartine (1790-1869, adoncques presque aux mêmes dates que Spontini) :
    C'est à ce moment-là que la rue change très brièvement de nom, pour devenir la minuscule rue Mignard, avec au coin un hommage à un autre poète, Eugène Manuel (1823-1901), probablement tout aussi oublié de nos jours que le pauvre Spontini :
    Ceci dit, la promenade est loin d'être terminée : il me reste en effet à parcourir cette rue Mignard, puis la très courte rue de Siam, et enfin la rue Nicolo, elle-aussi dédiée à un compositeur classique totalement oublié... La suite à venir d'ici quelques jours !
    P.S : Réponse au sujet de l'Ambassade au nord de la rue : il s'agit de இலங்கை சனநாயக சோஷலிசக் குடியரசு, comme beaucoup d'entre vous l'auront sûrement deviné...
    Pouf, pouf ! Excusez-moi... je voulais juste dire : celle du Sri Lanka (une île située au Sud-Est de l'Inde, autrefois nommée Ceylan) !

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